Proverbes chinois

Proverbes du monde

Les proverbes chinois prennent souvent racine dans des légendes anciennes, des dictons, des poèmes classiques ou des épisodes historiques.

La langue chinoise reste très difficile à traduire. C’est plus une pensée qu’une philosophie qui s’oriente vers l’observation de la nature et de ses cycles. Le chengyu est ainsi une forme spécifique faite de quatre mots destinée à évoquer un trait de sagesse populaire. « Être comme une grenouille au fond d’un puits » désigne ainsi une personne ayant une vue partielle des choses. La sagesse populaire chinoise est traversée par trois courants: le Taoïsme, le Bouddhisme et le Confucianisme.

Voici quelques dictons et proverbes populaires de Chine.


Le bonheur vient de l’attention prêté aux petites choses, et le malheur de la négligence des petites choses.


Point n’est besoin d’élever la voix quand on a raison.


Celui qui sait s’arrêter ne périclite jamais.


J’étais furieux de n’avoir pas de souliers ; alors j’ai rencontré un homme qui n’avait pas de pieds, et je me suis trouvé content de mon sort.


Mieux vaut mille refus qu’une promesse non tenue.


Quand il n’y a plus d’arbres, il n’y a plus de singes.


Le poisson pourri par la tête.


Les professeurs ouvrent la porte, mais vous devez entrer par vous-même.


Les habits doivent être neufs, les hommes anciens.


Tant que les mots restent dans la bouche, ils sont à soi ; sitôt prononcés, ils sont à tout le monde.


L’esprit a beau faire plus de chemin que le cœur, il ne va jamais si loin.


Est sage celui qui connaît les autres.


Les jours de tristesse sont longs ; les jours de joie sont bien courts.


Les étoiles sont dans le ciel pour rappeler aux mortels l’objectif vers lequel ils doivent tendre.


Sur un même arbre ne poussent jamais deux sortes de fleurs.


Si tu as entendu parler de Pékin, il ne faut pas aller voir Pékin.


On apprend plus avec ses oreilles qu’avec ses yeux.


Qui élargit son cœur rétrécit sa bouche.


Pour connaître la route devant toi, demande à ceux qui en reviennent.


Une parole venue du cœur tient chaud pendant trois hivers.


Le portrait d’un bon père est pour son fils un livre.


L’habitude est moins forte aujourd’hui que demain.


Si avoir sa femme toujours aimable n’est guère possible, l’être sans cesse soi-même n’est guère aisé.


Plus on a de connaissance moins on connaît de gens.


II faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.


Quand on n’a rien à se reprocher dans la journée, on ne craint pas que les fantômes viennent hurler à la porte au milieu de la nuit.


Mieux vaut mille refus qu’une promesse non tenue.


Quand il n’y a plus d’arbres, il n’y a plus de singes.


Le poisson pourri par la tête.


Les professeurs ouvrent la porte, mais vous devez entrer par vous-même.


Les habits doivent être neufs, les hommes anciens.


Tant que les mots restent dans la bouche, ils sont à soi ; sitôt prononcés, ils sont à tout le monde.


L’esprit a beau faire plus de chemin que le cœur, il ne va jamais si loin.


Est sage celui qui connaît les autres.


Les étoiles sont dans le ciel pour rappeler aux mortels l’objectif vers lequel ils doivent tendre.


Sur un même arbre ne poussent jamais deux sortes de fleurs.


Si tu as entendu parler de Pékin, il ne faut pas aller voir Pékin.


On apprend plus avec ses oreilles qu’avec ses yeux.


Qui élargit son cœur rétrécit sa bouche.


Pour connaître la route devant toi, demande à ceux qui en reviennent.


Une parole venue du cœur tient chaud pendant trois hivers.


Le portrait d’un bon père est pour son fils un livre.


L’habitude est moins forte aujourd’hui que demain.


Si avoir sa femme toujours aimable n’est guère possible, l’être sans cesse soi-même n’est guère aisé.


Plus on a de connaissance moins on connaît de gens.


II faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.


Quand on n’a rien à se reprocher dans la journée, on ne craint pas que les fantômes viennent hurler à la porte au milieu de la nuit.


Un tout petit caillou peut briser une grande jarre.


On ne peut empêcher les oiseaux noirs de voler au-dessus de nos têtes, mais on peut les empêcher d’y faire leur nid.


Paix et tranquillité, voilà le bonheur.


Pour bien faire, mille jours ne sont pas suffisants, pour faire mal, un jour suffit amplement.


Les trente premières années se passent à ne pas pouvoir se réveiller, les trente suivantes à ne pas pouvoir s’endormir.


Tout le monde aime la flatterie, chacun se méfie de la franchise.


La vie est la voie de la mort, la mort est la voie de la vie.


Un homme pauvre en bonne santé est déjà à moitié riche.


Ceux qui souffrent de la même maladie compatissent entre eux, ceux qui ont les mêmes soucis s’entraident.


Sourire trois fois par jours rend inutile tout médicament.


La fleur s’est fanée mais son parfum demeure.


Le Sage parle peu ; le grand parleur cause même de ce qu’il ignore.


L’étude, le respect des maîtres et des savoirs ancestraux est un thème central de la culture chinoise, on les retrouve donc fréquemment au sein de nombreux proverbes chinois:

En étudiant, il faut apporter toute son attention ; un seul caractère vaut dix mille livres d’or.


Plus on étudie, plus on constate que l’on ignore beaucoup de choses.


Passez trois jours sans étudier, vos paroles n’auront plus de saveur.


Commencer l’étude à cinq heures du matin ; prêter aux études autant d’attention qu’un général en prête aux opérations de son armée.


Étudier c’est comme ramer à contre courant, si vous n’avancez pas, vous reculez.


Un miroir sous les yeux représente la figure du moment ; l’étude des anciens fait connaître le temps présent.